La quille : se trouve sous le bateau, c’est en fait un poids qui est proportionnel à la taille et au poids de votre bateau, ce qui l’empêche de se retourner. Il n’y a pas de quille sur les dériveurs et catamaran - dits voile légère - d’où la possibilité de dessaler.
La dérive : c’est tout simplement ce qui vous permet de ne pas dériver. Lorsque le vent vient dans vos voiles, l’action de la dérive empêche le bateau de se décaler et donc le fait avancer.
Le(s) safran(s) : ce sont des “pales” reliées à la barre qui permettent de vous orienter, sur certains bateaux il y a plusieurs safrans.
Le winch : est un treuil à main qui permet de démultiplier la traction humaine effectuée sur les cordages. Grâce au winch et à la manivelle qui l’accompagne, même les petits bras s’en sortent !
Les taquets : les taquets servent à retenir les drisses, une fois fermé les drisses sont bloquées.
Le piano : je ne vais pas vous jouer du violon... le piano est le nom donné à l’ensemble des taquets, tous mis les uns à côté des autres on dirait un piano !
Les penons : ne sous-estimez pas ces petits fils de laine, grâce à eux vous pouvez barrer correctement ! Pour être sûr de votre allure, il faut que les penons de chaque côté du génois soient alignés.
Les haubans : ils tiennent le mât des deux côtés du bateau.
L’étai : il est tendu entre le haut du mât et l’étrave, le génois se glisse dedans lorsqu’on le hisse. Il y a également un étai arrière, appelé pataras, qui relie le haut du mât à l'arrière du bateau.